Les personnes souffrant de PCOD «rajeunissent»

Les jeunes femmes en Inde sont plus susceptibles que jamais de développer un trouble des ovaires polykystiques (PCOD), a noté un expert.

Selon le Dr Sunita Ghike, professeur au NKP Salve Institute of Medical Sciences, l'âge moyen des personnes souffrant de PCOD a baissé au cours des dix dernières années.

En conséquence, un nombre croissant de personnes ont du mal à concevoir un enfant, en raison de l'impact de la maladie sur la fertilité d'une femme.

S'adressant au Times of India, le Dr Ghike a déclaré que cela pourrait être en partie dû à des facteurs liés au mode de vie, tels que le type de nourriture qu'ils mangent et la quantité de stress qu'ils subissent.

Par conséquent, elle ne pense pas que cette tendance soit nécessairement irréversible.

"Ce n'est qu'en contrôlant ces facteurs que la maladie peut être contrôlée", a commenté le Dr Ghike.

Le Dr Tripti Nagaria, spécialiste de la fertilité dans la région de Nagpur, a ajouté que des outils de diagnostic avancés peuvent désormais être utilisés pour savoir si une femme a développé la PCOD.