Les MGF «violent les droits des filles»

Les droits des filles au Ghana sont violés lorsqu'elles souffrent de mutilations génitales féminines , ont déclaré des responsables.

Selon la Commission des droits de l'homme et de la justice administrative, la procédure est discriminatoire à l'égard des jeunes femmes et constitue une forme de maltraitance.

Cependant, l'officier municipal de la région de Bawku, Haruna Alhassan, a insisté sur le fait que le gouvernement s'emploie à réprimer les mutilations génitales féminines.

Par exemple, il a déclaré que des lois ont été introduites afin de résoudre ce problème persistant.

M. Alhassan a pris la parole après que l'organisation non gouvernementale ActionAID Ghana a déclaré que beaucoup de ceux qui appliquent la procédure tentent de trouver des moyens de contourner les règles.

Cela comprend l'envoi de filles dans des endroits comme le Togo et le Burkina Faso, de sorte que les auteurs ne peuvent pas être punis en vertu des règles de Bawku.

Les vues de la Commission reflètent celles de l'Organisation mondiale de la santé, qui a décrit la mutilation génitale féminine comme une violation des droits des jeunes filles et des femmes, ainsi qu'une procédure qui n'offre aucun avantage médical.